J’ai remarqué en faisant quelques petites recherches sur Google que lorsqu’on tapait le mot clé hijama dans le moteur de recherche parmi les propositions figurait aussi le terme danger. Hijama danger est donc visiblement une requête souvent faite sur le net.
Je sais bien que certains ont des interrogations voire appréhensions quant à la pratique des ventouses (Hijama) et préfèrent vérifier à juste titre s’il n’y a pas un… danger. J’aborde donc ce sujet brièvement dans cette vidéo mais je pense que c’est tout à fait justifié et légitime de se renseigner au préalable.
Je sais aussi, pour l’entendre régulièrement, que beaucoup ont des idées reçues sur la technique. La faute à ce qui est propagé, souvent faussement d’ailleurs, sur internet et venant de certains praticiens. Mais nous y reviendrons…
Cela dit, la thérapie des ventouses ou Cupping therapy comme on l’appelle aussi ne sera en aucun cas dangereuse ni même néfaste si elle est pratiquée dans les règles en toute sécurité: degré de connaissance du praticien, formation sérieuse, expérience, rigueur, hygiène dans certains cas (pour la technique humide…). Le praticien devra prendre le soin de vous expliquer comment se déroulera la séance, de vous faire part des éventuelles « effets secondaires » totalement inoffensif (décolorations cutanées laissées par les ventouses), vous questionner pour vérifier les contre-indications et prendre les précautions qu’il faudra le cas échéant. En tout cas pour ma part c’est comme ça que je fonctionne…
Et là-dedans j’entends qu’il faut bien sûr tout le temps prendre ses précautions d’autant plus lorsqu’il s’agit de notre santé. N’allez pas chez n’importe qui vous faire poser des ventouses en mode « go fast »! Alors faites-moi plaisir, renseignez-vous au préalable… 👍😉
4 Comments
Alhamdoulillahi la Hijama est une bonne thérapie et merci pour tout ces efforts pour nous guérir de maladies qui bloquent nos vies.
Merci encore pour ce bien fait.
De rien avec plaisir de partager ainsi ! : )
Ce n’est pas sans danger. J’en paye les frais aujourd’hui…
Et oui, il faut faire attention.